Peru perou
Enfin, on atteint le Perou apres 11 heures d avion, et le vrai depaysement commence: il faut se remettre a l español (pourquoi diable ais je passe la plupart des cours a faire des sarbacanes avec des stylos et du papier mache?) et surveiller ses enfants, sa femme et les 52 kilos de baggages emmenes avec nous...
Si si, j ai lu les guides dans l avion et au perou les gens sont tres mal intentionnes, les vieilles vous eternuent au visage pour detourner votre attention, et pendant ce temps les plus jeunes vous volent le portefeuille (en un seul mot helene) et la fausse police vous delaisse de vos bijoux les plus precieux ! On ne peut meme pas compter sur les taxis, qui vous conduisent a la tombee de la nuit dans des bidonvilles, vous bandent les yeux et vous torturent jusqu a obtenir votre numero de carte bleus (en ce qui me concerne, a la premiere chatouille je lache tout, y compris mes especes de survie cachees dans le double fond odorant de ma reebok)
Non, vraiment, si j´'avais su tout ca...
Vous l'aurez compris, il est temps maintenant de faire l'eloge de ce peuple formidable, si gentil et si amical : Elsa et Alex sont des demi dieux, et il est tres agreable de deambuler le long des differentes villes du perou, Nasca, Arequipa, Puno et son lac TITICACA, responsable en france de millions de rires gras de collegiens boutonneux, Cusco et bin sur machu pichu, point d orgue du sejour.
En resume, jetez vos guides touristiques, et demandez plutot a martine, vous vous eviterez un ulcere !
Encore merci a caroline, la soeur de Francois, qui nous a recu comme des membres de sa famille dans son merveilleux hotel de la vallee sacree.
Pisser sur des pierres incas, ca a son charme..